Ben... y'en faut du courage pour vouloir se ballader par ces temps.
Réveil à 6 heures du mat' ...ouap doo waap, p'tit coup d'oeil a l'exter....brrrr l'a pas l'air de faire chaud, coup d'oeil "l'autre, j'en ai deux" sur le thermo - 3...???...j'aurai pas dû finir le blanc hier, bon j'me recouche.
Re-réveil, plus tard.....ouais......top moumoute y fait beau, ça rigole plus faut y aller. Bon faisons les comptes, la mob 320k à sec + le coco et oil 25k + le frêle passager 115k + l'élégant pilote 90k + miam-miam et glou-glou 5k, ce qui nous fait 555 kilos, vu que pour freiner j'envoie un fax, le premier qui me barre la strass y s'en rappellera.
Lieu du rendez-vous rejoint, y'avions donc les miss Mariel z'et Cathy, coté orang-outan, les usuels Jocker, Scrtchromuph, José, Régis, Ouille, Forza, Kiki z'et moi-même. Ev'lyn Bernard et Lolo ont décidé de faire l'aller par les p'tites routes, donc rendez-vous plus tard.
Après les sempiternelles quolibets d'usage sur tels ou telles... ben il est temps de se casser si on veut pas louper l'heure du blanc.
L'autor, c'est pratique mais d'un chiant, sortie 22 tout le monde est là sauf les bleus,tant mieux, on a perdu personne.....progrès...? Y commence déja à faire tiède, bon on continu. Un p'tit bled sympa nous attend surtout la terrasse ombragée d'un estaminet qui avait exposé sur le parking, pour la circonstance de belles voitures jaunes qui ont provoqué une larme nostalgique dans l'oeil de Forza,
sensible va. Les adeptes du petit sandwich sont plus nombreux, hein... que c'est pas si désagréable. Les autochtones, admiratifs devant nos rutilans destriers en ont rendu quelques uns pas peu fier... mais pas de délation. Bon faut qu'on s'tire, pasque on passe
plus de temps à se réhydrater qu'à rouler.
Sont vraiment chouettes nos p'tites départementales dans ce coin, ça tourne tout le temps et pour ce qui est de la garde au sol de mon tracteur... ben c'est pas ça... ça frotte velu dans tout les sens, y'en a même qu'ont pas osé rester derrière de peur que j'leur mettre le feu... craintifs va, mais bon, à force d'user ça finira par plus
toucher. L'heure du rendez-vous approche et là ça galère léger pasque il est grand le trou d'eau des Settons mais ça l'fait nez an moins, notre Régis-pisteur nous les dénichent en deux temps z'et trois mouvements, il était temps kar y commence à faire grave soif.
Un david......non un douillet p'tit coin à été conquis par les trois échappés du matin qui nous ont doublés lors de l'arret café-blanc et c'est tant mieux pour nous. La p'tite
saucissonade-paté-fromage-rouge et il était bon le bougre, merci Kiki, avec un p'tit gateau généreusement offert par Evl'yn bien bon lui aussi.
L'heure de la baignade étant, c'est accompagné par Bern... non... Poseidon lui-même et son rejeton que nos naiades
s'en sont donnés à coeur joie dans ces ondes rafraichissantes.
Naturellement les moqueries d'usages fusèrent, thon, baleine, morue, sardine et j'en oublie mais rassurez-vous je n'en ferais pas acte dans ce compte vomi.
Bon... si on veut pas arriver en retard pour l'apéro du soir, faut mettre les bouts. Y fait toujours aussi frais, ça tourne toujours autant, ça commence à moins frotter et à se regarder lors de nos brèves haltes nous pensons tous à la même chose... plouf, d'autant que la p'tite route le long du canal et de voir les gens dans la flotte, ça faisait envie... mais bon... pas de retard à l'apéro quoique
que pour un peu, le Boss y commencait à perdre les boulons sur son tromblon... décidemment les yams... mais ça a été vite resserré et c'est ainsi que nous avons rejoint le grand ruban chiant comme la mort mais si pratique. J'ai pas trop compris l'arrêt dans la station sur l'autor, mais, le temps que j'envoie le fax de freinage de la deuxième file à la bau... trop tard, je pensais que l'on se serrerais les phalanges après le péage comme d'hab, bah... tant pis
ce sera pour la prochaine fois.
Arrivé à Combs 19h30 pile-poil glaçons démoulés, encore une belle ballade dans la besace, 560km compteur correct, en attendant la prochaine, les miss j'vous bise, les mecs...ben eu..bof j'vous touche.......la pogne.